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Quelques critiques
"Des dialogues spirituels, une mise en scène virtuose à la Ettore Scola, et la morale vacharde d'un Dino Buzzati."
Elle
"Sous l'apparente frivolité de ces 'tartuffes en jupon', Alexandra Lapierre nous offre de très fines études de caractère."
Le Monde
"On pourrait citer tous les classiques. C'est comme si la Princesse de Clèves ou Eugénie Grandet – libérées par le temps – prenaient la parole. Un feu d'artifice de vices et de vertus, d'innocense et de perfidie, de passé et de présent... Alexandra Lapierre nous en a convaincu : la littérature est éternelle."
L'Express
"Cocktail d'arsenic et d'élégance, un livre délicieusement vénéneux."
Le Parisien
"Un livre cinglant"
Paris Match
Le making-of
Depuis cinq ans, j'habite Rome, où j'ai déménagé pour écrire Artemisia. J'y ai travaillé jour et nuit. Aujourd'hui, en cette année 1999, le livre est fini et publié en France et en Italie.
La traduction italienne m'a prise tout entière et n'a pas été une mince affaire : j'ai voulu redonner à Artemisia sa voix d'origine et reconstituer dans sa propre langue tous les dialogues que j'ai pu trouver dans les archives. Notamment les documents du procès. Mission accomplie.
J'ai toutefois le sentiment de n'avoir pas assez vécu dans la Rome contemporaine. J'ai en outre l'envie de m'amuser un peu et de m'attaquer à une forme littéraire que je n'ai encore pas expérimentée : la nouvelle.
Les cinq histoires du 'Salon des petites vertus' s'imposent d'elles-mêmes. Elles sont nourries de tout ce dont j'ai été le témoin sur les terrasses de la Ville Éternelle. Mais elles ne constituent à aucun moment un roman à clef. Ce genre d'exercice ne m'intéresse pas. Ce qui me touche en revanche, c'est cet immense théâtre qui s'incarne dans la Rome baroque.
Le jeu des trompe-l'œil et des fausses apparences.
En ce sens, l'Italie des papes incarne à la perfection la comédie humaine.
Dans les médias
Critiques
